Une histoire de slips

Au matin, (coucher tardif lié aux commandes de billets en ligne pour la suite), le petit déjeuner se fait avec Freddy Mercury chantant en BO du breakfast, et c’est assez sympa quoi que fort peu russe.

On explore ensuite la ville et son Kremlin dont toute une partie est à la gloire des guerres — une constante dans ce qu’on croise, qui est toujours viril, même les morts.

Le midi, dans une cantine (super bon plan, tu manges pour rien), la serveuse à qui j’annonce mon statut de fransuski en montrant un plat de légumes éclate de rire en disant fransuski ratatouille (et c’en était de fait).

Ensuite c’est marcher dans la ville et puis aller se perdre ou quasi dans des sortes de zones abandonnées, des quartiers morts, les franges intérieures de l’Empire ressemblant tant à celles vues aux USA.

L’histoire des slips, c’est qu’on cherche aussi toute la journée, sans succès, un lavomatic parce que quelqu’un, le matin, s’est exclamé il ne me reste que quatre slips et je crois que c’était moi.

La photo du jour, c’est au Kremlin, une fresque représentant un char, construite de milliers de photos de soldats morts au combat. Virils, donc.

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2 Comments

  1. Christine Chevreux-Diedrich
    24 juillet 2019

    Avec 4 slip,tu peux tenir 8 jours . . .

    • dbourrion
      24 juillet 2019

      Plus, si tu oublies quel côté a déjà servi ?

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